Ce n’est pas la vue qui manque à Sutherland, c’est son pouvoir d’oublier. Peu à peu, il réalise que ces souvenirs visuels sont autant de chaînes dont il doit se libérer pour embrasser pleinement la réalité sensible qu’il commence à peine à explorer.
Ce n’est pas la vue qui manque à Sutherland, c’est son pouvoir d’oublier. Peu à peu, il réalise que ces souvenirs visuels sont autant de chaînes dont il doit se libérer pour embrasser pleinement la réalité sensible qu’il commence à peine à explorer.